Apnée du Sommeil
L’apnée du sommeil touche 5% de la population soit 1 personne sur 20.
Ce syndrome se manifeste par des pauses respiratoires de 10 à 30 secondes voir plus, se répétant parfois plus d’une centaine de fois par nuit.
Les conséquences peuvent être plus ou moins graves pour la santé: fatigue chronique, ronflements, perte de libido, impuissance, AVC, hypertension, obésité, diabète, dépression, irritabilité somnolence diurne ( accidents de la route ou du travail).
Ce syndrome affecte la qualité de vie et peut handicaper socialement la personne.
Plus de 800 000 personnes portent un masque la nuit pour éviter les apnées pendant la nuit et garder une bonne oxygénation du cerveau mais 30% le tolère mal ou le refuse.
Cet appareil à pression positive représente un coût de 400 euros par an et par personne à la sécurité sociale d’où l’utilité de développer et proposer de nouvelles solutions.
Je propose de dépister les apnées du sommeil grâce à un appareil à porter une nuit chez soi, d’utilisation simple; j’en analyse les résultats pour vérifier si oui ou non la personne présente des apnées du sommeil.
Si c’est le cas : Je peux lui proposer de porter un appareillage à pression positive à porter la nuit ou suivre un protocole en nutripuncture sur environ 2 mois visant à réguler les courants vitaux perturbés de l’organisme notamment du centre cardio-respiratoire bulbaire, de la déglutition, phonation, de la respiration inadaptée.
Les nutri sont une gamme de 40 produits à base d’associations de complexes poly-métalliques microdosés. Ils ont été conçus pour favoriser l’équilibre cellulaire et renforcer l’organisme face aux stimulis et agressions de l’environnement ce qui est souvent le cas dans les apnées du sommeil.
Les résultats obtenus par ce protocole renforcent le bien fondé des nutri qui constituent une solution sans effet secondaire ni contre-indication.
Il peut même être envisagé par des personnes portant déjà l’appareil pour aider leur corps à s’y adapter voir à s’en sevrer.
Un nouvel enregistrement sera proposé 6 mois plus tard pour vérifier l’amélioration des symptômes.
